LA FIN
Sous tes airs d'homme dur
Se cache des souvenirs meurtries
Tu t'es forgé une armure
Pou ne pas revivre ce passé terni
Des cauchemars ressurgissent parfois
Où tu vois ton monde s'écrouler
Toi qui, en tes parents, tu avais tant de foi
Toi qui, en tes amis, tu avais tant de bonté
Ils avaient osé t'abandonner dans ce bas monde
En sachant que tu avais tant donné pour eux
Ils avaient abusé de tes bonnes ondes
Pour te dépouiller jusqu'au dernier vœu
Tu es devenu ta propre ombre
Errant dans les limbes de ce qu'il te reste
Un cœur qui est prêt à fondre
Devant le grand Céleste
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